Enfin un film issu d'une production américano-turque digne d'exister ! Et oui, Hollywood et son confrère turque arrivent à produire un film objectif sur l'Islam et sa vision suite aux "attentats" du 11 Septembre, commandité par des terroristes musulmans selon la version officielle...
"Cinq Minarets à New York" raconte l'arrestation d'Haci, un intellectuel musulman d'origine turque vivant à New York. Sa mise aux arrêts prend suite à divers attentat revendiqué par un groupe terroriste musulman dont il serait soi-disant le chef. Tout au long du film, Haci citera certains passages du Coran prouvant que l'Islam n'est pas une religion de guerre, preuve toute simple présente dans la vie du prophète Mohammed durant son existence, n'est resté que peu de temps en guerre et seulement pour la défense de son peuple.
En cette période plus que jamais anti-religieuse où les pratiquants sont montrés comme des ringards à l'écran, où des pédophiles sont politiciens, où un imam français marie deux homosexuels (et n'oublions pas les trafics d'alcool organisés par des Rabbins de la communauté juive hassidique de Montréal), ce film remet les pendules à l'heure et prouve que l'Islam n'est pas plus violent que le Catholicisme et prône une philosophie de vie et une spiritualité non "destructrice", comme dirait certains.
Les mouvements salafistes (ou wahhabistes) et leur charia présents de plus en plus au Moyen-Orient sont coupables des lapidations en Egypte et des tortures de pro-Kadhafistes en Libye. Ce sont également les mêmes qui ont reçu un soutien de la CIA, du MOSSAD et du MI6 pour faire une "révolution" en Syrie (selon le Rapport de la Ligue Arabe).
Alors s'il y a des ennemis à combattre dans l'Islam ce sont eux, c'est cette interprétation qui est mauvaise. Combattre l'Islam, religion de plus d'un milliard et demi de fidèles, serait rendre service à la Franc-Maçonnerie destructrice de nations et sa sécularisation pour que l'humanisme prône !
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